#CyberScams : Comment se prémunir du vol en ligne ?
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«Cela fait presque 26 ans. Le club recherchait alors des personnes pour un groupe de réflexion afin de créer plus d’ambiance et offrir plus d’expériences. Je venais d’obtenir mon diplôme. C’était un jour férié. Je me suis dit ‘C’est amusant à faire’. Après les vacances, on m’a proposé de venir travailler au secrétariat en tant qu’assistant administratif. Je me souviens que, à l’époque, nous jouions en deuxième division nationale avec une moyenne de 400 à 5000 spectateurs. J’ai vécu la croissance du club et j’ai occupé de nombreux postes : attaché de presse, communication, communauté, vente des business seats… À un moment donné, j’ai également dirigé l’organisation du championnat et tout ce qui tourne autour. Aujourd’hui, la boucle est bouclée.»
«Je regarde toujours l’histoire en termes de ‘nous’. C’est très important au KRC Genk. Nous gagnons et nous perdons ensemble. Un des premiers défis a été de rapprocher et de motiver tout le monde. Nous avons fait de belles avancées, comme l’installation d’un nouveau terrain et l’amélioration des parkings. Nous avons aussi été à l’écoute des plaintes des supporters. La principale était la mauvaise qualité de nos parkings. C’est donc l’une des premières choses que nous avons abordées. Nous avons aussi énormément travaillé pour que l’équipe reste soudée. C’est un point qu’il ne faut pas sous-estimer. Nous avions beaucoup de demandes pour des joueurs comme Trossard, Malinovski, Pozuelo ou Berge. En tant qu’équipe, nous avons réussi à garder cette équipe soudée et c’est peut-être là notre réalisation le plus importante.»
«Je veux travailler encore plus la motivation et la gestion de l’équipe. Je la représente souvent comme une chaîne faite de nombreux maillons. Chaque maillon doit fonctionner correctement pour que la chaîne puisse tourner de manière optimale. Les résultats sportifs sont là. Tout le monde doit travailler très dur. Philippe Clément veille à ce que chacun sur le terrain aille jusqu’au bout et fasse de son mieux pour obtenir de bons résultats. L’équipe hors du terrain doit faire de même.»
«Absolument. Sans cette période politique, on ne m’aurait peut-être pas proposé ce poste. J’ai été échevin de l’économie, de l’événementiel et du tourisme pour la ville de Genk, mais aussi, depuis 2016, député provincial dans le Limbourg. J’ai aussi bâti une solide équipe autour de moi et c’est ce que nous devons faire partout. Seul, vous allez vite, mais, ensemble, vous allez loin. Nous rassemblons de nombreuses personnes et sympathisants autour d’un objectif spécifique : le succès du club. Raison pour laquelle il existe un lien clair entre politique et football.»
«Évidemment, nous espérons finir le plus haut possible. Nous venons de finir un parcours fantastique : dix victoires et cinq matches nuls. Nous n’avons pas de défaite au premier tour. Pas un club n’a réalisé cela depuis 1989. Nous sommes aussi efficaces sur le plan européen. Nous sommes en tête de notre groupe et nous avons encore deux matches importants à jouer. Nous sommes aussi présents dans la Coupe de Belgique, mais la tâche sera rude, en décembre, face à Charleroi. Pour le championnat, nous souhaitons disputer les play-offs 1 et y arriver avec un nombre de points confortable. Je pense que nous sommes sur la bonne voie. Nous pourrons alors nous fixer de nouveaux objectifs.»
«Philippe Clement est quelqu’un qui vient d’ici. Je travaillais déjà au KRC Genk quand il jouait dans notre équipe. C’était en 1998 et nous avons gagné la Coupe. C’est un travailleur acharné. Le matin, il est le premier à arriver au Club et l’un des derniers, le soir, à en partir. A mes yeux, il a gardé toute sa simplicité. Bien qu’il ne soit pas un Limburger, il se comporte comme tel et il sait ce que cela représente pour nous. Le travail poussé à ses limites est très important pour lui. Il se concentre sur l’ensemble de l’équipe, garde les pieds sur terre, reste modeste et profite, avec nous, de tous les succès que nous obtenons.»
«Beobank est très importante pour nous. Le logo Beobank est sur nos poitrines tant pour les championnats nationaux qu’européens. C’est notre sponsor principal depuis 2013 et, en tant que club, nous en sommes très fiers. Comme le KRC Genk, Beobank est une marque forte. Cette banque challenge les autres grandes banques ; nous challengeons Anderlecht, Bruges ou le standard. Beobank est aussi une banque familiale qui s’adresse à toute la famille. Nous nous retrouvons en accord sur de nombreux points, parce que nous sommes aussi un club qui s’adresse aux familles et au plus grand nombre. Nous partageons, pour ainsi dire, une grande partie de notre ADN.»
«Tout comme le KRC Genk, Beobank s’intéresse beaucoup au travail au sein de la communauté. Cette année, comme l’année dernière, nous avons organisé une campagne Saint-Nicolas pour les plus démunis, en collaboration avec Vincentius Limburg. L’année dernière, nous avons collecté un conteneur entier rempli de jouets par l’intermédiaire des agences Beobank du Limbourg. C’était fantastique. Cette saison, nous collectons aussi de la nourriture. Espérons que le succès soit encore plus important que l’année dernière. Nous travaillons fort autour de notre communauté et nous avons trouvé, avec Beobank, un excellent partenaire pour nous impliquer dans des projets comme celui-ci.»
«Nous nous considérons comme l’université du football. Note académie fait partie des meilleures de Belgique, voire d’Europe. L’objectif est de former un maximum de ces jeunes joueurs pour que, un jour, ils puissent jouer dans la Luminus Arena. Nous envisageons d’envoyer au moins deux joueurs par an dans l’équipe A du KRC Genk. Nous sommes aussi très fiers de nos joueurs qui ont réussi comme Kevin De Bruyne, Thibault Courtois, Steven Defour, Jelle Vossen ou Bryan Heynen. Un des plus grands noms du moment est Leandro Trossard. Il est Diable rouge, mais vient aussi de notre école des jeunes.»
«Notre club est un tremplin vers des compétitions supérieures. Grâce au football européen, nos joueurs disposent d’une vitrine vers l’Europe. L’année dernière, nous avons convaincu Leandro Trossard de jouer une année supplémentaire avec nous, et ce, autant que possible après ses blessures. Alors qu’un club le convoite, il pourra en voir débarquer de nombreux autres. Nous sommes en accord : si, l’année prochaine, une offre correcte vient d’un club prestigieux et que Leandro veut partir, nous ne nous opposerons pas au transfert. Nous le lui avons communiqué de manière correcte et honnête.»
«Ils restent, pour nous, des porte-drapeaux. Si vous regardez où leur carrière a réellement commencé, vous vous retrouvez au KRC Genk. Ce lien existera toujours. J’ai aussi un contact étroit avec Thibault. L’année dernière, je suis allé voir le derny Man U et Man City et j’y ai rencontré Kevin personnellement. Il vient parfois nous voir quand il est à Genk. Ces garçons ne renient pas leurs racines. Ils savent que nous leur avons offert des opportunités.»
«Très souvent par le passé, quand je travaillais comme attaché de presse pour le KRC Genk. Mon nom figurait bien évidemment dans les répertoires de nombreux journalistes, juste après celui d’Eric Gerets. J’ai reçu de nombreux appels pour des interviews, pour participer à un talk-show ou pour participer à des jeux. Surtout à l’époque où ‘l’autre’ Eric Gerets était encore très connu. Mais maintenant que je me suis construit une longue carrière au sein du club, cette erreur n’est plus vraiment commise.»
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