13 astuces pour des vacances bon marché
Tu peux voyager hors périodes scolaires ? C’est l’idéal car il y aura toujours moins de monde et moins de file à faire. Les prix de ton auberge ou de ton camping...
Le marché immobilier belge est terne. C’est ce que prétend tout au moins Erik Buyst, professeur d’économie de la KU Leuven :
“Et c’est une bonne chose. Nous n’avons jamais connu de fortes périodes d’augmentation suivies de grosses chutes de prix, comme en Espagne ou aux Pays-Bas”[1]
Même si les prix de l’immobilier augmentent (légèrement) actuellement, le financement d’un achat est plus attrayant que jamais[2]. Les crédits hypothécaires ont un taux historiquement bas. Un bon exemple : 1 étudiant sur 10 ne loue plus de kot, mais achète un appartement. Ou plutôt ses parents[3].
Pendant un moment, il a semblé que la légendaire brique dans le ventre des Belges allait disparaître. Surtout quand la Wallonie a décidé de supprimer le bonus logement. Et la Région Bruxelloise lui emboitera le pas en 2017.
Mais nous continuons à investir dans la brique. Une bonne décision... ou pas ?
Wikifin, un portail indépendant des autorités, est sans équivoque :
« Financièrement, devenir propriétaire de son logement est souvent beaucoup plus intéressant que d'être locataire ».
Louer, c’est jeter de l’argent pas les fenêtres ? Pas forcément. La location compte également des avantages. Et la Génération Y doit certainement y penser à deux fois avant d’acheter.[4]
En tant que propriétaire, vous avez chaque année des taxes et charges foncières à payer. Ce n’est pas le cas pour un locataire. Ce dernier ne devra jamais intervenir dans les frais de rénovation, comme le remplacement de la chaudière par exemple.
Une autre solution pour réduire les coûts, c’est l’hôtel Maman. Les jeunes restent facilement chez leurs parents jusqu’à leurs 30 ans.[5]
Acheter, c’est se fixer à un endroit. Alors qu’en louant, on peut découvrir et tester différents quartiers et villes.
Moins de soucis à se faire avec une hypothèque, la déclaration d’impôts, la paperasserie,… Le loyer est payé et on n’en parle plus. D’autant que les jeunes préfèrent investir en eux que dans la pierre.
Imaginez, vous recevez l’offre du job de votre vie… à 200 kilomètres de chez vous. En tant que propriétaire, la porte se ferme. En tant que locataire, vous pouvez plus facilement la considérer. Dans un marché de l’emploi en constante évolution, les jeunes se rendent compte qu’ils doivent miser un maximum sur la mobilité. Dans de grands pays comme les Etats-Unis, cela joue un grand rôle mais chez nous aussi, cet aspect débarque.
Le house sharing, une nouvelle tendance pour les jeunes locataires. Louer ensemble une maison ou un appartement. Cette nouvelle forme d’économie partagée est déjà très populaire à New York [6]. Bientôt monnaie courante chez nous aussi ?
[1] Trends, 28/04/2016: ‘Vastgoed kopen als belegging wordt her en der riskant’.
[2] De Standaard, 02/03/2016: ‘Woningprijzen stijgen tegen eind 2017 met 3 procent’
[3] Moneytalk, 26/08/2016: ‘1 op 10 studenten huurt geen kot meer, maar koopt appartement.’
[4] Moneytalk, 17/11/2015: ‘Twintigers huren beter een woning’.
[5] Nieuwsblad, 30/05/2016: ‘Hotel Mama blijft langer open.’
[6] The Atlantic, 06/11/2015: ‘Dorms for Grownups: A Solution for Lonely Millennials?’
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