Le Belge, un épargnant sérieux mais peu structuré
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L’empreinte écologique des entreprises est un critère important pour 66 % des consommateurs belges. Un tiers est même prêt à payer plus pour polluer moins.
La succession de catastrophes naturelles, allant des inondations de juillet 2021 aux récents feux de forêt sur le pourtour méditerranéen, a marqué les esprits. Pas moins de 85 % des Belges considèrent ainsi la transition écologique comme importante selon notre enquête exclusive réalisée par le sondeur Ipsos1. Une quasi-unanimité qui témoigne de la prise de conscience entourant le changement climatique et notre impact sur l’environnement.
La grande majorité des Belges (69 %) estiment que leurs propres actions jouent un rôle important dans la réduction de leur empreinte environnementale. Ce qui se traduit par des actions concrètes, tout particulièrement en cette période de crise énergétique. Dans le détail, 34 % des Belges ont installé une isolation plus efficace, 26 % ont opté pour des panneaux solaires, 9 % ont installé une pompe à chaleur et 5 % sont passés à la voiture électrique. À noter que des solutions adaptées peuvent vous permettre de financer de tels investissements verts plus facilement.
En termes d’habitudes de consommation, deux tiers des Belges estiment que l’empreinte écologique des entreprises est un critère (très) important pour leurs achats de biens et services. Et seuls 12 % y voient un facteur sans importance. En d’autres termes, il devient essentiel pour les entreprises d’investir dans la transition écologique sous peine de voir leurs clients privilégier à terme d’autres fournisseurs.
Du côté des consommateurs, le principal frein à des achats plus verts demeure le prix. Sept Belges sur dix estiment que la transition rend les biens de consommation (alimentation, vêtements, santé, …) plus chers. Parallèlement, « seul » un tiers des Belges est prêt à payer plus pour des biens et services plus écologiques. Les écarts générationnels sont toutefois importants à ce niveau. Près de la moitié des jeunes (moins de 27 ans), les consommateurs de demain, sont ainsi prêts à payer plus pour polluer moins.
1Enquête réalisée pour le compte de Beobank par Ipsos en juillet 2023, auprès de 1000 Belges âgés de 18 à 65 ans.
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