Et si c’était le moment de passer à l’e-commerce ?
Les ventes en ligne ont augmenté de 40% depuis le début de la crise liée au coronavirus. Et si vous passiez vous aussi à l’e-commerce ?...
La nouvelle est tombée ce mercredi 15 avril, les mesures de confinement sont prolongées jusqu’au 3 mai. La situation actuelle reste donc de mise : les magasins et commerces « non essentiels » restent fermés et nombre de sociétés tournent au ralenti. Que faire pendant le confinement ?
Mettons d’abord les choses au point. Loin de nous l’idée de minimiser l’impact de la crise du coronavirus sur les indépendants et entreprises belges. La période que nous traversons actuellement est incertaine et nombre de commerçants et sociétés devront faire face à des difficultés, même si les autorités fédérales comme régionales ont mis en place des mesures de soutien pour limiter au maximum l’impact de cette crise. Mais devant toute difficulté se cache aussi des opportunités, à court, moyen et long terme.
Le confinement et les fermetures « offrent » du temps aux indépendants, commerçants et sociétés. Le temps de réfléchir de manière approfondie sur leur business et la façon dont ils travaillent et offrent leurs produits et services à leurs clients. Le moment de penser à ces projets qui ont été maintes et maintes fois repoussés par manque de temps. Peut-être est-ce le moment de se diversifier, de mettre en place les travaux tant repoussés, de commencer à faire de la vente en ligne, de passer du B2C au B2B ou inversement ?
Choisir un business model et définir ses USP est la base quand on démarre une activité. Mais elle n’est jamais fixe et est censée évoluer, afin de pérenniser son entreprise. La crise économique actuelle est l’occasion de reprendre ce travail à zéro et se transformer. Quel est le problème du client et comment veut-il le résoudre, et que propose ou va proposer votre entreprise pour l’aider à le résoudre ? Cela peut passer par une évolution de votre modèle ou un changement radical. Une évolution si abrupte ne se fait pas en un clin d’œil et un accompagnement est donc primordial, tant du côté organisationnel que du côté financier.
La présente publication reprend des informations générales et ne constitue pas un conseil personnalisé. Ces informations peuvent changer ou faire l’objet de règles ou d’interprétations particulières en fonction de la situation concernée. Beobank décline toute responsabilité quant à l'exactitude, l'exhaustivité et la mise à jour des informations provenant des sources citées.